Un secteur maritime plus vert

Comment contribuer à une industrie maritime plus verte ?

L’environnement figure depuis des années à l’agenda des leaders mondiaux, des défenseurs de l’environnement et des citoyens ordinaires. L’avenir de notre planète et de nos enfants fait l’objet de toutes les attentions. Les objectifs et les mesures des autorités sont axés tant sur la réduction d’azote et de particules fines que sur la diminution des émissions de CO2.

L’un des sous-objectifs est d’aboutir à un secteur de la navigation intérieure (pratiquement) sans émissions et climatiquement neutre en 2050, avec comme étapes intermédiaires :
– En 2030, réduire les émissions de CO2 de la flotte de navigation intérieure néerlandaise de 40 % à 50 % par rapport à 2015.
– En 2035, réduire les émissions polluantes dues à la navigation intérieure de 35 % à 50 % par rapport à 2015.

Pour atteindre ces objectifs, on vise entre autres sur la transition du gasoil au GNL comme carburant.

Le GNL ou gaz naturel liquéfié, provient de restes végétaux ou d’engrais. Le GNL est liquide à une température de -162 °C. À l’état liquide, le volume est environ 600 fois plus petit que sous forme gazeuse. Le stockage et le transport du GNL sont ainsi plus efficaces, ce qui contribue à la durabilisation.

En plus d’un avantage de prix, cette transition procure différents avantages environnementaux pour le secteur maritime, comme une réduction directe à la source des émissions de NOx, de SOx et de CO2, entraînant une amélioration de la qualité de l’air, et le respect de la réglementation en matière d’émissions.

Le transport de GNL de la source aux utilisateurs se fait généralement au moyen de navires de mer et de bateaux de navigation intérieure. Le transbordement dans le navire, le stockage à bord et le transport terrestre se font au moyen de tuyauteries en acier inoxydable. Les exigences de sécurité sont évidemment élevées dans ce cadre. Les normes de produit et d’homologation auxquelles les matériaux doivent satisfaire sont déterminées en fonction du pays, de l’armateur et/ou de l’utilisateur final.

Aux Pays-Bas, en Belgique et en Allemagne, la tuyauterie utilisée pour le transport et le stockage de GNL doit satisfaire aux normes suivantes :

  • API (American Petroleum Institute)
  • ASTM (American Society of Testing Materials)
  • Norme EN (Norme Euro)

Nous disposons bien sûr chez Arcus d’un grand stock de tuyauteries en acier inoxydable et CS qui répondent aux normes précitées, réparti entre différents sites.
Outre les exigences fixées dans ces normes, la tuyauterie à bord des navires fait souvent l’objet d’examens complémentaires selon les indications du client. Ce processus est aussi qualifié de « valorisation » dans le langage populaire.
Les tests complémentaires (p. ex. essai de flexion, essai de traction, essai de résilience) sont exécutés dans un laboratoire indépendant et attestés par un organisme notifié, comme : Lloyds Register of Shipping, Bureau Veritas, Det Norske Veritas et Rina.

En vue de vous décharger de tout souci, nous nous occupons de ce trajet de valorisation pour vous.

Si vous avez encore des questions sur les normes, les certificats ou nos produits après la lecture de ce blog, n’hésitez pas à me contacter.

 

 

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